mardi 5 janvier 2016

23 décembre 2015




Je m'étais couché tôt vers 23 h 30 et quatre heures plus tard je fus tiré du sommeil par la voix de "grand-père" qui me murmurait "é strano di esser ucciso daï suoï". Je ne rêvais que de dormir et je sentais l'hypertension me rappelait sa musique dans mes veines. La contrariété d'être réveillé m'incita à écrire la phrase sur un carnet. Je luttais pour me rendormir pensant à la journée qui m'attendait, trouver des cadeaux, faire des courses, l'après midi à la clinique, l'hypertension taraudait maintenant mes pensées songeant à ce grand-père que je n'avais jamais connu et dont je ne savais que les causes de son décès.

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