Découvrez The Cure!
Où que m'aient mené mes pas, je sens confusément un continuum dans ce cheminement hétérogéne/ éthér aux gènes comme si mon existence semblait mû par un graal assez simple autour d'une question somme toute assez ouverte du style "mais qu'est ce qui s'agite autour de moi?". Plus que la question identitaire ou le besoin de se réaliser, de réussir sa vie, ma quête me raméne à ces pérégrinations d'enfant, ogni domenica al campo santo colla nonna et nous allions au "village de ceux qui étaient partis", les saluer, de cette étrange manière, bouquet de fleurs devant marbre glacé" et nous attendions jusqu'à ce que la nonna porte la main de son front à sa poitrine puis vers chacune de ses épaules, le visage noyé de larmes. Observer a toujours été la première activité de mes sens. Ceux-celles qui me connaissent ont pu le remarquer et me le faire.
J'ai toujours cru avoir un don particulier dans ce domaine. Particulier est le mot important. Tant mon intuition qui capte, semble à chaque fois s'égarer dans des impasses psychologiques. Si bien que je n'ai trouvé qu'auprès du célèbre "rantanplan", un lien de parenté. Ne m'en croyez pas désolé. Je crois profondément que ce syndrome a des vertus inattendues, celles entre autres de participer à une certaine dédramatisation des relations car le rire n'est jamais loin. Il m'arrive aussi de pleurer mais ce sera le sujet d'un autre billet!
3 commentaires:
oh oui dis nous ce qui te fait pleurer!
t'es obligé de nous infliger ton kodackrome
3 commentaires tu fais fort
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