Je ne trouvais pas le sommeil, pensées prises dans nuage toxique.
Un nue À je toxique : forcément.
Je pensais À un énoncé sur ces “programmes parentaux” réservés aux enfants, écrits dans ces ardeurs de corps À corps des couples : passions, tendresse, aigreurs et ces solutés d’inconscient que chacun glisse.
Je pensais au désastre quand l’enfant ne saisit pas la panacée proposée et dans la famille, la fratrie,
se croit être le petit canard noir.
A en épouser le rôle jusqu’à s’en dégouter et vie durant À balbutier pourquoi moi
ou se dire comme le font nombre d’enfants : “il y a un secret, j’ai dû être adopté”
et poursuivre sa course dans ce karma
se croit être le petit canard noir.
A en épouser le rôle jusqu’à s’en dégouter et vie durant À balbutier pourquoi moi
ou se dire comme le font nombre d’enfants : “il y a un secret, j’ai dû être adopté”
et poursuivre sa course dans ce karma
“rebel without a cause”.
Parfois, jusqu'à votre prénom vient À vous crucifier.
Etrange rite : porter sur les fonds baptismaux ce qui va nuire À votre progéniture.
Je ne sais pourquoi j’ai toujours croisé sur ma route des êtres blessés, dans des traumas de l’origine.
Je ne me suis même pas dit que côtoyer un être qui eut pu être épargné, était de l’ordre du possible.
Je dis épargné et pas aimé tant les méandres du mot amour m’ont appris les subtilités du conte nu.
Je ne me suis même pas dit que côtoyer un être qui eut pu être épargné, était de l’ordre du possible.
Je dis épargné et pas aimé tant les méandres du mot amour m’ont appris les subtilités du conte nu.
Dans ces idées vagabondes je m’éloignais de ce que je devais faire.
Mes papilles testaient l’âpre gout du café nuancé par une tasse de thé vert froid.
J’aimais la solitude des aubes comme une remise du compteur À zéro.
La clarté ne révélait pas encore une idée de météo et j’étais dans un sens au plus bas.
Le chaos ne m’effrayait pas.
J’aimais la solitude des aubes comme une remise du compteur À zéro.
La clarté ne révélait pas encore une idée de météo et j’étais dans un sens au plus bas.
Le chaos ne m’effrayait pas.
Dormir un peu, exercer le corps, se mettre au travail.
Ce n’était pas écrire qui m’angoissait mais les rencontres que je faisais
dans ce mouvement de grande solitude, comme un vertige devant l’espace qui s’offre.
dans ce mouvement de grande solitude, comme un vertige devant l’espace qui s’offre.
J’entendais tellement de rires derrière moi.
Je pensais qu’un enfant mérite avant tout notre bienveillance.
Je n’étais pas convaincu que mes filles aimassent leur prénom.
Qu’elles sachent que dans mon esprit, ils faisaient sens.
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