mi piacce scrivere
je pourrais dire que c'est mon activité favorite. Plus que me nourrir, plus que goutter autres corps
plus que
Cependant j'écris peu et je m'arrête vite, après quelques lignes, pris dans une culpabilité
ancestrale d'un agir futile : fut-il? Dans ma généalogie approximative, on n'écrit pas. On s'invente des devoirs et la vie s'épelle comme un rosaire contrit. Ne fus pas un rebelle à ce dispositif transmis par cette capillarité des corps que savait si bien orchestrer les dits de la nonna : "prima il dovere poï il divertimento".
Je n'ai jamais perçu l'écriture comme un divertissement
mais comme une nécessité quand acculé, j'avais besoin de recul de distance
de ce besoin de forer pour se dégager de l'immédiateté étouffante.
Mon écriture se déploie dans mon incompréhension de l'existence. Dans ces subtilités qui régissent les rapports humains et qui me plongent souvent dans des énoncés hermétiques.
N'ai jamais été très expert en communication tant le sentiment de rejet (de l'être et de ) me glissait dans des postures en rupture. Ai souvent renoncé au bonheur tant il m'était plus facile de composer les comportements du manque. Suis toujours admiratif des personnes ayant pu me supporter quelques temps. Je ne saurais définir leurs qualités mais il y a certainement un certain courage : si je me montre critique je tendrais à dire un manque de lucidité. Comme disait l'almanach Vermot de la nonna "le bonheur des uns fait etc "
et paolo Conte chantait :
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