dimanche 1 novembre 2009

deux novembre



me suis réveillé avec sonnerie désagréable de mon nouveau tél fixe : (pour le connaître tapez jm2261952@yahoo.fr. Du coup me suis fait un café, las c'est celui que sev a laissé dans mon sac de déroute "puff du décaféiné même pas cap de lire un package" comme disait jade hier après soirée halloween et verre cassé "y a des jours rien ne va"!
Ne soyez pas surpris d'écouter du neil young dans ces cas là! Sa voix me ramène à une fuite philosophique qui me tire toujours vers la rive de la sagesse!
Quoique!
J'ai ce sentiment de laisse autour du coup.
N'est ce pas là la définition du salaire. La laisse est courte! Stoppons là, la métaphore, je vous entends ajouter "vie de chien". Mais bien sûr tous ne sont pas à la même enseigne et certains ne voudraient pas être à la place de leur maître. Hier soir, je suis tombé sur un reportage tf1 sur les tatouages, encore un de ces marronniers qui ne me fait que penser du bien du journalisme : circulez il n'y a rien à voir". En l'occurrence s'alignaient les corps décorés. Je regardais distraitement faisant la vaisselle : c'est que d'un oeil je préfère zoomer sur mes mains quand je suis chez mon ex!
Et là une femme presque de mon âge découvrit son épaule pour faire admirer la reproduction de son caniche dead qu'elle avait dans la peau.
Ah la riche idée! me suis je dit interieurement (parfois je préfère rester muet) et si je me faisais décalquer les visages des êtres aimés. Pris dans la réflexion, je mesurais immédiatement la complexité de l'affaire et les querelles à venir "quoi je ne suis pas sur ton coeur", qu'est ce que je fais sur ton dos" , tu vas m'effacer de ta fesse illico". Ai préféré changer de châine!
Ce qui m'a fait lever de mauvais poil ce matin vers 5 H 30 est le bruit léger , régulier, menaçant d'une goutte d'eau qui brisait le silence de la nuit. Me suis mis à flipper pensant "dégats des eaux, écrire assurance et la petite goutte tombait tombait. Ai allumé et de ma vue aléatoire ai scruté le plafond mais rien si ce n'est le bruit continuel. Alors ne faisant confiance qu'à mes mains me suis mis à caresser le sol avec la certitude que j'allais! Et là je me suis rappelé que je venais de poser un lino représentant "jolis galets" et l'idée me traversa que je n'avais que ce que je méritais! J'eus envie de me recoucher mais le réveil!
En relisant je notais les mots "laisse, chaine, gouttes" : le vase semblait plein, il était temps que je mette le pied dehors.

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