il est des films qui convoquent en moi des corps, des espaces, des lumiéres...
Il est un film qui convoque voix/e qui se sont tues.
J'ai ce film de bertolucci qui évoque en moi cet hier si présent
et ce n'est pas Paris qui occupe les travellings de ma pensée
mais Cannes en 70 et plus par affinités.
Penser un monde qui n'est plus sur des images qui défilent :
autant de flashes back du zénith au nadir. La mémoire travaille
dans d'autres espaces que la nostalgie, elle irrigue le flux vital
de ce que vous avez de plus essentiel : les rencontres cardinales!
Celles qui s'inscrivent en toute conscience avant que leur lumière ne s'éteigne!
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