'Critiquer les hommes puis finalement se dire qu'on les aime ces cons ... Un vrai Homme est un Homme avec du caractère!"
facebook me surprend parfois! Et me renvoie à mes fantômes.Dans le monde hétérosexuel, les filles s’interrogent plus que les garçons.
Sur elles-mêmes et sur les garçons. Il faut dire que la féminité, cet éternel féminin, est un passage obligé pour chaque jeune fille dans son dialogue in senso avec l’image de l’autre femme (souvent la mère : là lire daniel sibony devient judicieux).
Bizarrement je ne compris l’enjeu que tardivement vers ma quarante deuxième année dans une anodine discussion à une table où j’avais été inopinément invité.
Il y avait là une jeune femme de douze ans ma cadette qui émit l’assertion suivante “je me sens devenir femme”. Et bien ce groupe de mots changea mon existence. Happant ma curiosité au point de me lancer dans une campagne de marketing direct (j’exagère à peine) pour la retrouver et tenter d’approfondir cet horizon dévoilé.
Il y avait là une jeune femme de douze ans ma cadette qui émit l’assertion suivante “je me sens devenir femme”. Et bien ce groupe de mots changea mon existence. Happant ma curiosité au point de me lancer dans une campagne de marketing direct (j’exagère à peine) pour la retrouver et tenter d’approfondir cet horizon dévoilé.
Pour son malheur (me dira-t-elle plus tard) sur les choses de l’amour, j’étais un garçon plutôt efficace! Mais la question qu’elle m’aida à me reposer était “ est ce que je me sentais devenir un homme” ou avais-je un devenir homme.
J’avais peut être un “devenir loup”. Si ma compagne (qu’elle devint eut été devin, elle m’aurait sorti dans un de ces accès de grande “liberté” : ouais (non elle n’aurait pas dit ouais) un homme invisible!. Permettez-moi de ne pas (ce jour )m’épancher sur les méandres de ces quinze ans de traversée.
L’idée qui me mordait la nuque est d’un autre ordre.
J’étais ce soir sur la terrasse de cette maison familiale que je nomme “gynécée”-
non jean essais- : çà c’est un autre truc de filles!
non jean essais- : çà c’est un autre truc de filles!
Et une profonde tristesse comme un manteau me recouvrit, je ne vous dis pas la chaleur.
Je regardais les lieux où l’herbe gagnait et me mis à recenser tout ce qui restait à faire et je sentis qu’un vent avait poussé au loin mon sentiment de responsabilité, que les courroux, les mots de trop comme un vaccin tardif m’inoculait cette étrange indifférence qui m’avait gagné sur le territoire même de mon enfance.
Nomade, no mad quand on vous signifie que votre place n’est pas là c’est parfois une offrande que l’on vous fait, Une ouverture vers un ailleurs qui ne serait pas un mauvais “fix”.
J’ai toujours craint les femmes qui critiquaient les hommes pour leur dire après (tout bien pesé et frayeurs assoupies) “qu’on les aime ces cons”.
Nomade, no mad quand on vous signifie que votre place n’est pas là c’est parfois une offrande que l’on vous fait, Une ouverture vers un ailleurs qui ne serait pas un mauvais “fix”.
J’ai toujours craint les femmes qui critiquaient les hommes pour leur dire après (tout bien pesé et frayeurs assoupies) “qu’on les aime ces cons”.
J’ai toujours détesté les relations fondées sur le double-bind : ce dire je t’aime pour je te hais, n’est ce pas cela “aimer ces cons”!
Là j’avoue c’est de l’ordre du manifeste féministe “aimer le con des hommes!
je ne devrais pas rire.
La mère de mes enfants vous dirait que je n’étais pas un homme de caractère : tout juste son eunnuque (rien à voir avec euh nique ta mère).
je ne devrais pas rire.
La mère de mes enfants vous dirait que je n’étais pas un homme de caractère : tout juste son eunnuque (rien à voir avec euh nique ta mère).
1 commentaire:
c'est pas avec ce genre de texte que tu vas faire recettes, pot iron
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