jeudi 26 mars 2009
26 mars
il est fort possible que l'hymne à l'insatisfaction redevienne d'actualité et offre des royalties à l'oncle mike (comme on dit l'oncle sam). je ne sais pourquoi cette chanson m'a toujours propulsé dans une réflexion métaphysique me livrant à des impasses. Je comprenais bien que mon état de "satisfaction" était déficitaire mais je n'arrivais pas à imaginer ce qu'être satisfait pouvait signifier. "C'est par ce que probablement, tu ne manquais de rien" pourrait-on rétorquer. C'était bien cela, mon je était dans le rien, un nouméne s'land ou une chappe de plomb.
à la réflexion je me demande même si dans cette fin des années 60, le mot jouissance était dans les glossaires des journaux d'alors, voire des pubs ( c'était un temps avant la pub).
Oui, cette chanson était bien un éclair philosophique dans un monde soporifique
et les lévres de jagger embrasérent l'aridité de l'époque qui succomba sous son charme.
La satisfaction se déclina subitement dans le tout , tout de suite, cet algorythmé éffréné qui enchante ce systéme, la métaphysique de la quête se décomposa jusqu'à c e que le nouveau son se fasse entendre succint mais envoutant car mono syllabique : bling bling!
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