nuit agitée de pensées incend'hier, les pieds en déclive
pour meilleur retour sanguin. Comme disent les copines
"à ton âge il faut te préserver". Hum je ne sais trop
si elles me l'ont vraiment dit ou si j'eusses aimé!
Dans ces moments de perturbations mentales et faute de pouvoir courrir après
la psy du service pour demander "debriefing", me suis mis à retourner vers Dylan.
"Love minus zero/no limit" combien de fois ai je fredonné la comptine, elle m'irradiait,
m'offrait qqs idées sur comment je voulais l'aimer (je pense à la jeune femme qui joua avec ma virginité). L'amazone était plus dégourdie que moi sur toutes "les choses de la vie". Moi, je n'avais que mes mains et un sac de poèsies approximatives dont celles lanscinantes du grand Bob.
J'ai toujours eu un pincement pour la désespérance, le côté sombre, j'ai toujours été sensible au lamenti, musique de la nonna. N'ai pas imaginé qu'au niveau du mélo aurait la dose et qu'il me faudrait faire avec. Dans le naufrage les ristournelles venaient insuffler cet oxygéne faute de penser
7 commentaires:
j'aime bien ce que tu écris mais tu
devrais dépasser l'écriture immédiatete et gagner en profondeur
contente toi de lire connard!
en plus d'une écriture à fleur de peau, t'es assez coincé comme mec!
tu te désabonnes immédiatement de ce blog vieille peau!
ô sombre éros de l'amer
vous mourutes aux bords où vous futes laissé
Putain 57 ans que je le supporte!
Je deviens aussi vulgaire que lui
hum pour une fois qu'il ya début de débat çà vole pas haut.
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