lundi 10 août 2009

agosto 27

suis allé bosser cet après midi en écoutant la voix de willy de ville.



C'est en zappant sans la moindre invitation en outrelande que j'appris la nouvelle.
Peu de voix m'ont autant remué. Comme si j'étais invité au diapason de l'émotion
quand cette voix chantante raconte, invite, exprime le très fond de chaque être.

Il n'y a plus de prêtre.
Parfois trouvéres ou troubadours viennent nous cueillir pour nous guider
au plus profond de nous mêmes, là où somnolent quelques vérités trop étouffées.
Il me plait de fredonner ainsi pour laisser affluer ces courants qui m'ont porté,
ces courants qui me portent,
tous ces êtres qui viennent en mon esprit peupler de leur verbe ma chair.
OUI tous ces êtres chers!

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