C'est le papy-blues sta sera.
Mais peut être me direz-vous
ne s’agit-il pas d’amour? Peut être.
Un individu qui ne s’aime pas peut-il aimer?
En toute naïveté, dirais “oui”.
Mais peut être me direz-vous
ne s’agit-il pas d’amour? Peut être.
Un individu qui ne s’aime pas peut-il aimer?
En toute naïveté, dirais “oui”.
On peut ne pas s’aimer et percevoir le di/amant
qui scintille à votre regard. Je dirai presque que l’on remarque plus aisément la brillance de ceux-celles qui vous font face quand on se sent parcouru de courants d’erres.
Ne fus jamais déçu par mes rencontres mêmes celles qui me là minérent, me laissant exsangue, dans cet état de grand-malade à balbutier nuits durant “oh pourquoi, moi”
Ne pas s’aimer me positionna d’emblée dans une posture paradoxale d’attendre de l’autre “un chéque en blanc” et de savoir l’innanité de l’énoncé.
Etre tout pour quelqu’un a toujours été dans mon entendement un non sens de la raison. N’ai jamais cherché à faire du prosélytisme sur ce registre, gardant la théorie pour mes propres faims.
Ai vécu toutes sortes de situations deux garçons une fille et inversement, couple quasi normal hors homologation, tant le mariage ne m’est jamais apparu comme une valeur ajoutée aux sentiments que je pouvais éprouver.. Il est fort probable comme émettent ces théories systémiques que nous “participons à notre propre malheur” et que loin de reproduire l’histoire d’amour initiale-initiatique, je fonctionne dans une sorte de quête de l’abandon en privilégiant les êtres qui “portent mon rejet” et que j’évite vite celles qui me témoigneraient un amour inconsidéré.
Ai longtemps été marqué par un film des années 50 “pandora and the flying deutchman” avec ava gardner et james mason et une phrase “will yu die for me”.
Ai longtemps cru être un flying deutchman, en tous cas ne fus pas Pandora ce jour d’aout 1975 pour rejoindre dans la non éternité celle que je disais aimer.
à la nuit, il me vient cette idée que parler d’amour pour moi est incongru!
qui scintille à votre regard. Je dirai presque que l’on remarque plus aisément la brillance de ceux-celles qui vous font face quand on se sent parcouru de courants d’erres.
Ne fus jamais déçu par mes rencontres mêmes celles qui me là minérent, me laissant exsangue, dans cet état de grand-malade à balbutier nuits durant “oh pourquoi, moi”
Ne pas s’aimer me positionna d’emblée dans une posture paradoxale d’attendre de l’autre “un chéque en blanc” et de savoir l’innanité de l’énoncé.
Etre tout pour quelqu’un a toujours été dans mon entendement un non sens de la raison. N’ai jamais cherché à faire du prosélytisme sur ce registre, gardant la théorie pour mes propres faims.
Ai vécu toutes sortes de situations deux garçons une fille et inversement, couple quasi normal hors homologation, tant le mariage ne m’est jamais apparu comme une valeur ajoutée aux sentiments que je pouvais éprouver.. Il est fort probable comme émettent ces théories systémiques que nous “participons à notre propre malheur” et que loin de reproduire l’histoire d’amour initiale-initiatique, je fonctionne dans une sorte de quête de l’abandon en privilégiant les êtres qui “portent mon rejet” et que j’évite vite celles qui me témoigneraient un amour inconsidéré.
Ai longtemps été marqué par un film des années 50 “pandora and the flying deutchman” avec ava gardner et james mason et une phrase “will yu die for me”.
Ai longtemps cru être un flying deutchman, en tous cas ne fus pas Pandora ce jour d’aout 1975 pour rejoindre dans la non éternité celle que je disais aimer.
à la nuit, il me vient cette idée que parler d’amour pour moi est incongru!
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