mercredi 28 avril 2010

28 04

la poésie a été longtemps un refuge, un chemin de traverse quand l'impasse
et son vertige abyssal me cueillirent un matin d'août 1975. 
à rebours je devine que la perte du sens ne s'accommode d'aucune raison.
Le fou ne fait pas rire , il fait peur car il trace en soi le devenir qu'il arpente , seul

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