je suis devant l'amour comme aux premiers jours, naïf, à vif, susceptible
et toute affection soustraite me laisse dans le même état,
à lécher les murs faute d'amour, dans un état de cataclysme que le nadir atteint
(Ô MU i remember) ne calme point.
La théorie du rebond au fond du trou ne m'offre que le rire!
De ma voix traversée de bruissements et autres borborygmes,
ne surgissait nul arc en ciel et j'allais errant comme un don quichotte
sans même son moulin à vents.
Ai été largué, repris puis relargué.
Et l'idée d'être repris est une fausse joie
Et l'idée d'être repris est une fausse joie
car elle ne vous épargne pas d'être relargué
si bien que sur la berge désertée un "vendredi",
me suis mis à penser que de l'amour, je n'aimais que le rejet.
Ce rejet radical, chi fou mi intransigeant, scalpel récurrent sur l'occurrence décelée
qui attestait de ma venue au monde en ce premier jour de l'était!
En avais conclu que les phéromones R, du rejet initial, avait tapissé mes tissus
si perméables de leur message menteur.
Et le foetus shooté reçoit le message chimique comme le codex de sa quête.
La vie devient alors bizarre : tu appelles "amour", le programme -total rejet-
et comme Rantanplan tu te précipites dans les bras d'iseult,
triste sire, et c'est "Ma' Dalton" que tu étreins!
ceci dit "Ma Dalton" peut avoir les attraits à ravir et un QI sexy!
Mais c'est "Ma" Dalton et tu n'as pas idée de l'os qu'il te reste à ronger.
Il faut que je trouve une autre approche "style chèrie, ne m'aime pas, contente toi d'abuser de moi"!
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